Dans tous les cas, l’unité graphique est souhaitable : elle facilite et l’écriture et la lecture ; et dans tous les cas, l’écrivant (le scripteur) doit penser à l’unité graphique, à son importance. Malgré tout, 3 types de situations se présentent aujourd’hui :
- La première relevant avant tout de la décision individuelle
– La communication privée (liste des courses, mails, lettres, etc.)
- II. La deuxième, où il est préférable que les décisions soient collectives
– La création littéraire
– Le journalisme écrit
– La publicité
– Les prospectus, les tracts, les annonces.
- La troisième, relevant directement d’une autorité, où l’unité graphique est, à terme, incontournable. Il s’agit, en particulier des situations d’enseignement :
– L’option LCR
– L’enseignement en créole (les classes bilingues)
– La lutte contre l’illettrisme
– L’apprentissage de la lecture
Chaque situation d’écriture, en particulier celles de la catégorie 3, doit être analysée et envisagée sous l’angle des exigences graphiques qu’elle impose.
Bonjour Lofis,
Pou mwin, le travay zot i fé dessi la grafi lé gayar. I fo pousse pli loin konm zot i di, essèye trouv in grafi « consensuelle et fonctionnelle ».